Alex the rainbow :3 [FINISHED] {Adminstrateur}

Prologue
Nom : Onzelfee
Prénom : Alexander, surnommé Alex ou Alexa par ses amis (c'est pour le taquiner, hein -.-)
Age : 17 Ans
Date de Naissance : 17 Septembre
Maison/Année : Poufsouffle/7e Année

Premier Chapitre
Caractère : Alex agit différamment pour chaque personne qu'il rencontre. Bien sûr, il y a des gens qu'il aime plus que d'autre et c'est normal, mais il n'agira pas de la même façon avec son père qu'avec Sam. Réticent à propos de la magie, Alex n'en demeure pas moi quelqu'un qui aime la vie et que ne rejette jamais une invitation à s'amuser. Farceur, il rit souvent. Alex travaille fort, et il est très loyal envers ceux qui l'aiment, mais aussi envers les gens de sa maison, peu importe de qui il s'agit. Ayant une attitude plutôt contreversé envers les professeurs, Alex n'en demeure pas moins attachant et impressionnant. Il est aussi beaucoup plus sentimental que la majorité des garçons de son âge. Un rien peu le blesser et il lui arrive de ressentir beaucoup trop fort certaines émotions. C'est un problème qui a souvent inquiété la famille Onzelfee. Alex est beaucoup trop touché par ses sentiments, il en devient parfois complètement fou.

Qualités*
Alex est quelqu'un de bon, dans le fond. Il aime être gentil avec les autres et il pense sincèrement qu'être méchant envers quelqu'un est vraiment stupide et que ça ne sert à rien de faire de la peine aux gens. Préoccupé par les problèmes sociaux qui l’entourent, vous ne le verrez cependant jamais en train de fouiller dans vos affaires. Poli, il ne s'emporte presque jamais, mais il aime bien qu'on lui rende la pareille. Compétitif, Alex n'en demeure pas moins bon jouer et cela ne le dérangera pas trop de perdre une partie. Il est l'une de ces personnes qui accordent confiance à n'importe qui, sauf que, n'étant pas si naïf, il vous l'accorde dans la mesure où il pense que vous ne le trahirez pas. Sympathique, les gens sont normalement très heureux de pouvoir le compter parmi eux, car Alex accepte n'importe qui comme ami, du moment qu'il en vaille la peine. C'est évident que si vous ne désirez pas être copain avec lui, il ne se foulera pas pour être hyper-méga gentil avec vous ! Il faut avouer qu'il n'est pas stupide, même s'il est facilement déconcentré. Il aime travailler dur et passer des heures sur un puzzle ne le dérange pas, du moins, il a la patience de le construire jusqu'à la fin. Quand il est fatigué, cependant, Alex change du tout au tout et deviens absolument haïssable.

Défauts*
Il est plutôt du genre à toujours apprécier le même genre de choses sans jamais innover. On pourrait dire qu’Alex n’a jamais le goût de goûter à de nouvelles choses. Implacable en ce qui concerne la gente féminine, il n’a pas envie d’avoir une petite amie, car il les trouve toutes stupides. Pourtant, les autres ont l’impression qu’il a simplement peur de ce que cela pourrait donner et il faut aussi avouer qu’Alexander pense que les filles sont toutes pareilles. Trouvant les professeurs passablement idiots, il pense aussi cela du directeur, et donc de tout ce qui concerne les activités Poudlardienne. On peut donc penser qu’il est plutôt « tête de mule » comme garçon. C’est vrai qu’il ne démord pas vite de quelque chose. Rancunier, il peut rester de nombreuses années avec la même haine pour quelqu’un, comme sa mère peut en témoigner. Alex est aussi du genre à trop prendre certaines choses à la légère.

Aime/Aime Pas : Il y a tellement de choses que Alex aime ! Le jeune Poufsouffle a une attirance particulière pour les parfums, ses favoris étant les pêches et l’odeur des aiguilles de conifères. Même si les filles s’accordent toute pour dire qu’il est « macho », il n’y a aucun doute que Alexander Onzelfee a son petit côté féminin. Petit côté qui prend considérablement de place… Il adore s’arrêter durant de longues minutes devant les façades des magasins et il a une véritable passion pour les vêtements de toute sorte. Son apparence, il en prend soin sans devenir vaniteux. Il ne dit jamais qu’il est beau, mais il tente toute de même de faire en sorte que les gens aiment ce qu’il porte. Étant un artiste né, les activités qu’il préfère le plus sont le dessin et il ne se sépare jamais de la vieille guitare acoustique de son père. La musique est quelque chose de particulièrement poignant pour lui, et il adore en écouter et en jouer. Autant Alex aime dessiner, autant il déteste peindre. Il affirme qu’un pinceau est beaucoup trop difficile à manier et il dit que le meilleur outil est un bon vieux crayon de bois et une feuille de papier moldue. Quesqu’il n’aime pas non plus ? Sa mère, bien sûr, est en tête de liste. Ensuite, ce doit être la rentrée et les entrées embarrassantes de sa belle-mère dans sa chambre ; il déteste ça. Ensuite, il y a les devoirs, les cours de métamorphose, le Quidditch (oui, vous avez bien lu, Alex déteste ce sport et il va voir les matchs seulement pour encourager son équipe et ses amis qui font partie de cette même équipe), la crème glacée à la menthe, les caramels trop collants et le fait qu’il n’arrive presque jamais à tenir une conversation pertinente et intéressante avec quelqu’un.

Sinon, il y aura toujours des choses qui le laisseront complètement indifférent : Les filles qui sont folles de lui, les chansons du Choixpeau Magique qu’il n’écoute jamais, car il est trop occupé à discuter avec ses potes et ses lunettes qu’il doit absolument porter, mais qu’il oublie volontairement de mettre. Alex a aussi une opinion très indécente des professeurs en général. Il dit qu’on pourrait sans doute très bien s’en passer. Si vous avez eu l’occasion de suivre des cours avec Alexander, vous comprendrez de quoi je parle. En effet, m’sieur trouve totalement fortuit le travail des enseignants, il affirme qu’on s’en sortirait aussi bien si on apprenait tout ça dans les livres. Alex est donc assez impoli avec eux…

Physique : Il faut premièrement savoir qu'Alex retient ses cheveux noirs charbon de son père et son regard déroutant et bourré d'émotions de sa mère. Son sourire est un mélange intéressant des deux parents, mais on n'hésite pas à dire qu'Alex ressemble beaucoup plus à sa mère. Celui-ci affirme pourtant qu'il serait le jumeau d'Andrew s'il portait ses lunettes. Assez grand pour son âge, il n'est pas non plus un géant. Ayant une coupure au niveau de l'oeil gauche, cela lui donne un style un peu sauvage et rebelle. Il faut dire qu'avec sa chevelure ébourrifée et ses différentes manies lui donne un air d'autant plus charmant. Pour ce qui est de son style vestimentaire, il est plutôt varié, et comme Alex aime se vêtir à la mode, les filles sont encore plus émerveillées devant ses goûts et son style. Beaucoup des garçons de son école pensent qu'il est gay parce qu'il en a l'air, pourtant il ne pense pas l'être. Enfin, des rumeurs ont déjà courut à propos de lui et Sam, et cela les avaient mis tout deux très en colère. Alexander n'a pas le physique d'un athlète, car il ne partique presque aucun sport et qu'il préfère dessiner tranquille sous un arbre plutôt que suer en effectuant des trucs qui ne l'aide pas à se cultiver. Pourtant, il adore se mettre à crier "Go, les jaunes, go !" lorsqu'il en a l'occasion...

Deuxième Chapitre
Famille : La mère d'Alex s'appelle Charlotte Cahill, elle est de Sang Pur et habite dans une forêt en compagnie de sa fille Tania. Elle travaille dans un bureau à Londres où elle s'occupe de la paperasse. Elle est très préoccupée par le sort de son fils. Le père d'Alex s'appelle Andrew Onzelfee, moldu. Lorsque les parents de Charlotte apprirent que leur fille avait épousé un moldu, ils furent furieux et effacèrent leur enfant de l'arbre généalogique. Charlotte se fichait pas mal de tout cela, elle sacrifia sa vie de riche sorcière pour vivre avec son amoureux. Donc, Andrew vécu très mal la séparation, comme il travaillait à la maison, c'était plus facile pour lui d'avancer. Il vit seul avec son fils, Andrew et est toujours follement amoureux de Charlotte sauf qu'il pense que c'est peine perdue et veut avancer, c'est pourquoi il s'est entiché de Klarissa. Ensuite, il y a Tania, la petite soeur d'Alex, d'environ quatre ans sa cadette. Elle n'a pas beaucoup de souvenirs concernant Alex, mais de le voir à l'école la fait beaucoup souffrir intérieurement. Elle n'a pourtant jamais osé lui adresser la parole.
Amis/Ennemis : Sam, le gars avec qui il a lié une amitié, mais qu'il ne connait que très peu et les élèves de Poufsouffle en général.
Baguette Magique : 23 cm, bois de pin, contient une plume de phénix.
Animal : Aucun, Alex est allergique aux chats, il a horreur des oiseaux et des reptiles. Ah oui, et il trouve les rats dégoutants.

Troisième Chapitre
Histoire : Le temps était aux aveux, dans cette maison de style ancienne avec des volets jaunes et d’énormes plates-bandes de fleurs de toute sortes. En effet, un petit homme d’à peine six ans était agenouillé sur le tapis impeccable du salon, tapis qui, soit dit en passant, était d’un blanc éclatant. L’enfant affichait un air de martyr, comme si sa mère qui était plantée devant lui, les mains sur les hanches, avaient eue soudain envie de l’accrocher à la porte du salon pour sa punition. La question qu’il faut se poser en songeant à cela, c’est…Pourquoi ?

L’enfant avait été faussement accusé d’avoir piqué les biscuits contenus dans la jarre qui était posée sur le comptoir de la cuisine. N’étant pas celui qui l’avait fait, mais connaissant parfaitement le fautif, Alexander tentait par tous les moyens de faire entendre raison à sa mère. Pourtant, celle-ci ne semblait pas du tout croire en son innocence. Surtout parce qu’Alex refusait catégoriquement de donner le nom de l’individu qui avait commis cette faute. Sam, le jeune voisin tapageur, était la cause du conflit et il ne s’était pas gêné pour épier la scène par la fenêtre ouverte du salon. Un peu embarrassé par les ennuis qu’il avait causé à son meilleur ami, Sam posa ses coudes sur le rebord de la fenêtre, se mordant la lèvre dans une attitude pleine d’espoir. Bien sûr, personne n’avait pris compte de sa présence jusqu’à ce que Tania décide d’aller gazouiller dans les environs. Madame Onzelfee, ne supportant guère la discutions incompréhensible de sa fille avec un mur s’apprêtait à la réprimander quand elle se rendit compte de la présence d’un invité importun. Celui-ci se mit à rougir, jetant un coup d’œil suppliant à Alex qui pleurait à chaudes larmes : « Saaam, méchaaaant ! » (Oui, Alex avait cette manie à tout dramatiser…) et le concerné se contenta de répondre d’un air piteux : « Pardon » . Sa bouille d’ange eut le don d’attendrir le petit cœur d’Alex, Mme Onzelfee lui conseilla fortement de retourner à la maison, et lorsqu’il fut disparut, la mère d’Alexander sembla enfin comprendre : « Je suis vraiment désolée de ne pas t’avoir cru, mon chéri ».

Alex bouda pendant deux semaines, indigné du fait que sa mère avait si peu de confiance en lui. Puis, la colère s’estompa plus rapidement que les autres auraient pût le croire et les deux inséparables recommencèrent à jouer ensemble. C’était un petit moment de l’enfance d’Alex qu’il n’oublierait jamais, car c’était la première fois que le petit homme ressentait une chose pareille pour quelqu’un : Un amour inconditionné, et la peur de perdre un ami.

On ne peut que se poser des questions sur la relation qu’entretiennent Sam McAthir et Alex Onzelfee, mais il est clair que leur amitié dépasse bien l’entendement de la raison. À l’âge de sept ans, petit Alex découvrit que l’amitié réservait également de belle surprise, mais que la vie en réserve de bien moins bonnes…

C’était un jour de novembre, il faisait sombre très tôt, la pluie glaciale tombait du ciel gris et très peu de gens s’attardaient à l’extérieur. Alexander entra chez lui, les cheveux mouillés, car il n’avait pas la chance de transporter un parapluie et il se rendit compte que quelque chose clochait. Trois sacs de voyages étaient posés sur le tapis d’entrée et une agitation palpable régnait dans la maison. Alex jeta son sac à dos parterre, retira son manteau et ses bottes, puis il alla à la cuisine où il entendait des voix qui s’entrecoupaient et s’élevaient successivement. Madame Onzelfee était debout, ses cheveux couleur de miel tournant d’un côté à l’autre de la même manière que la pluie s’évertuait à tomber à l’extérieur. Elle parlait d’une voix forte et contrariée à son mari qui était assis à la table, la tête entre les mains en signe de dépit. Il semblait complètement abattu. Ce qui inquiéta Alex d’avantage que tout le reste, ce fut les larmes qui coulaient abondamment du regard sombre de Charlotte Cahill. Il se ratatina dans l’encadrement de la porte, tremblant comme une feuille. Ça n’allait pas du tout. « Maman et papa ne se chicanent pas comme ça d’habitude. On dirait…On dirait qu’ils ne s’aiment plus », furent les pensées qui le traversèrent.

On apprit quelques jours plus tard, dans la rue « Bronze Grape » que Charlotte et Andrew se séparaient. La mère laissa son fils à son père, incapable de le regarder dans les yeux en lui faisant ainsi de la peine. Elle quitta le domicile, emmenant la petite Tania avec elle. Alex était anéantis, et Sam le remarqua assez vite quand il vit comme l’enfant réagissait. En fait, Alex ne voulait plus jouer à rien, il n’arrêtait pas de rêvasser et lorsque Sam s’essayait à parler de Madame Onzelfee, Alex se mettait à pleurer. Un jour, alors que les deux amis jouaient dans le bureau d’Andrew, celui-ci apparut et dit : « Maman aimerait te parler, je te la passe ? », s’attendant à un oui, le père fut considérablement surpris (et il ne fut pas le seul) d’entendre un « Non » catégorique sortir de la bouche du petit. Après que la porte eut été refermée et qu’Alex se remit à pleurer, Sam déposa le crayon jaune qu’il avait dans ses mains (Il avait tenté, sans oublier de grimacer à chaque trait qu’il traçait, de dessiner un poisson. Malheureusement, le résultat n’était pas un chef d’œuvre…) et serra son meilleur ami dans ses bras. « ‘Faut pas pleurer, ‘faut pas. »

Les années passèrent, ponctués d’activités diverses et d’émotions variées. Le tout se mélangeait pour former la vie d’Alexander Onzelfee. Le jeune garçon prit connaissance de ses pouvoirs à l’âge de huit ans. Il était installé dans la chambre de Sam, les deux jeunes regardant la télévision, lorsque son ami prit le verre de jus de fruit qui était posé sur son bureau. Sous le regard horrifié d’Alex, l’objet glissa des mains de Sam pour tomber parterre. La scène se passa réellement au ralenti, comme si quelqu’un avait pris une télécommande, puis appuyé sur le bouton deux fois moins vite. Pourtant, Alex savait que c’était lui qui avait fait cela. Il en avait la certitude, au fond de lui-même. Sam, lui, semblait sur le point d’exploser sur le coup de la surprise, il avait les yeux qui lui sortaient pratiquement de la tête et la bouche grande ouverte. Alex, de son côté, était rouge comme une tomate.

Au début, le jeune garçon n’osa pas aller rapporter l’évènement à son père, mais il lui apparut que c’était la seule façon d’avoir des explications. Entrant en trombe dans le bureau de Monsieur Onzelfee, il se mit à crier : « Papa, c’est pas normal ! » . Après avoir raconté l’évènement à Andrew, celui-ci éclata de rire, enleva ses lunettes et fixa son fils dans les yeux. « Je ne devais pas te le dire, j’avais promis à Charlotte que c’était elle qui te l’annoncerait, mais comme tu refuses de lui parler…»

Alex n’aurait pu être plus attentif, on aurait dit une statue de pierre tellement il n’arrivait pas à bouger ne serais-ce qu’un orteil. Andrew poursuivit : « Gamin, t’es un sorcier » . Que se passait-t-il ? Ce n’était pas normal, ça non plus. Mr Onzelfee aurait dû lui dire que c’était sûrement un effet de son imagination et qu’il ne devait pas s’inquiéter pour si peu, alors, le père et le fils se seraient mis à rire de ce petit évènement, mais ce n’était pas ce qui se passait, non… « Papa est devenu fou, mon dieu, quesque je vais bien pouvoir faire de lui ? » Alex n’eut pas le loisir de trouver un moyen de raisonner son père, car celui-ci était déjà en train de composer un numéro sur son téléphone cellulaire. Alors, il n’y eut plus que l’angoisse, la haine et la peur. L’enfant savait exactement quel numéro son père avait composé, il savait avant de prendre le petit appareil qui répondrait. Alex paniqua, regardant autour de lui comme s’il allait tout à coup découvrir un moyen d’échapper à la voix douce de Charlotte. Comme si le seul fait de regarder un mur lui procurerait une sensation nouvelle, du courage. Heureusement pour lui, personne ne répondit. Il laissa tomber l’appareil sur le carrelage, se tirant les cheveux en signe de détresse, il étouffa quelques sanglots. Mr Onzelfee, le cœur brisé par cette image alla serrer son fils dans ses bras, lui soufflant à l’oreille quelques paroles de réconfort.

Alexander pensait qu’il échapperait éternellement à l’appel fatidique, mais une semaine plus tard, le téléphone sonna de nouveau et lorsque l’enfant vit le nom qui était inscrit sur l’afficheur, il hésita longuement à répondre à la voix qui répétait : « Oui, allo ? » d’une voix perplexe. Alex approcha son oreille du combiné : « Mmm…Ma…Maman » . Il entendit Charlotte soupirer à l’autre bout du fil, un soupir de réconfort. Alex, figé sur place, ne savait plus quoi dire. « Mon chéri, je suis si contente que tu m’appelles. Comment vas-tu ? » Aucune réponse ne vint, et Charlotte, assise dans sa maison au fond d’un bois, lisant la « Gazette du Sorcier », s’inquiéta soudain. Que se passait-t-il ? Elle fut d’autant plus soulagée lorsque son fils se mit à parler d’une voix monocorde, ne laissant transparaître aucune émotion. « Charlotte, est-ce que je suis un sorcier ? » . Et la femme qui était assise se mordit la lèvre, elle baissa la tête et répondit d’une voix entrecoupée, comme si elle se retenait de crier. « Oui, Alex. Tu es un sorcier, comme moi. Excuse-moi, c’est ma faute…Je… » Alexander Andrew Onzelfee ne sut jamais ce que sa mère allait dire, mais il sut qu’il ne lui pardonnerait jamais d’avoir fait de lui un monstre d’une telle espèce.

Une nouvelle vie débuta, et Alex n’y serait probablement pas arrivé si Sam ne l’avait pas accompagné dans cette incursion au monde de la magie. Ils entrèrent finalement à Poudlard, où ils vécurent ensemble toutes leurs études. Le Choixpeau ne voulut pas les séparer, ils eurent donc le loisir d’assister à tous leurs cours ensemble, partager le même dortoir et les mêmes amis. Alexander passa de bons moments, même si Tania était là, il se comportait comme tout homme se comporte (en idiot xD) et l’ignora comme il le pouvait. La pauvre était bien triste de cela, et elle n’hésitait pas à en parler à sa mère. Alex n’aimait pas le monde des sorciers, il aurait d’autant mieux voulu rester à la maison, mais il n’avait pas le choix. C’était la faute de sa mère tout simplement. Il ne la supportait pas, il ne supportait pas ceux qui étaient fiers de leur sang pur.

« HEY, ALEXA ! » Jetant un coup d’œil amusé à l’autre bout de la salle commune, le fraîchement surnommé Alexa lança un coussin en pleine tête de l’idiot de Poufsouffle qui le taquinait depuis la première année, ils partageaient la même classe tout les deux. Au début, Alexander avait détesté ce gars, mais il avait fini par adorer ce petit jeu qu’ils avaient construits ensemble. Sam étendu sur un tas de coussins, bien installé sur le divan et Alex était assis parterre à ses côtés, adossé au sofa. La jeune Onzelfee dessinait passionnément une caricature du professeur de potions, tandis que Sam babillait sur tout et n’importe quoi, rapportant des propos pas très valorisants sur les Farfadets. Alex se contentait de souffler quelques « Mmmmh » de temps à autre pour paraître poli, mais il n’écoutait pas vraiment ce que Sam disait. « Tu crois que je vais avoir mon diplôme ? » . Sam éclata de rire : « Bien sûr que oui, voyons. Tu bosses comme un malade, pourquoi tu ne l’aurais pas ? »

Alex ne répondit pas, il songea à son père qui devait être en train de dîner avec Klarissa. Dieu merci, il n'aurait pas à subir sa belle-mère tout le long des vacances ! Elle allait le rendre fou, toujours à venir le voir dans sa chambre pour lui dire que cela ne saurait tarder, que Andrew finirait bien par lui demander sa main et qu'elle se ferait un plaisir de le foutre à la porte. Alexander voyait rouge à chaque fois qu'elle était dans les parages et, bien qu'il détesta sa mère, rien ne lui empêchait de trouver impoli la façon que Klarissa avait de parler d'elle. De plus, Andrew n'avait aucune confiance en lui lorsque cette femme était là et il obéissait au moindre de ses désirs. Heureusement que la méchante belle-mère doive se rendre chez sa tante malade pour s'occuper d'elle durant tout l'été ! Alex pourrait se reposer sans l'avoir dans les pattes et préparer son entrée en école supérieur l'an prochain. Il songeait à devenir Médecin moldu, mais il tenterait tout de même d'avoir ses ASPICs pour faire plaisir à son père.

Une année mouvementée semblait bien être sur le point d'apparaître au prochain tournant. Saura-t-il suivre le bon chemin ? Seul l'avenir le dira...On dirait bien...


Annecdotes Importantes : Alex était en forêt, conduisant l'un de ces véhicules tout-terrain que les gens ayant des chalets dans le coin utilisent souvent, lorsqu'il tourna la tête pour regarder le paysage alentour. Lorsqu'il se retourna, une branche pleine d'épines le blessa sous l'oeil. Voilà l'histoire de sa blessure XD.

Épilogue
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Question Règlementaire : "Hogwarts will always be there for those who needs help"