Logan Inwood [Pas finie =3]

Chapitre I : Histoire.



Né à SoHo à New-York, fils d'une mère artiste et d'un père comédien, Logan avait été plongé très tôt dans les préceptes de l'égoisme. Jessy Inwood, faisait vivre sa famille grâce au salaire élevé que lui offrait la vente de ses oeuvres. Dans sa jeunesse, ç'avait été une sorcière très prometteuse, que tous voyaient occuper plus tard un poste important au Ministère de la Magie des Etats-Unis. Mais Jessy était dotée d'un impressionant esprit de contradiction, et, refusant de suivre la voie qu'on lui avait tracé sans lui demander son avis, elle vécut comme une parfaite moldue, profitant des ses dons magiques pour réaliser des magnifiques oeuvres et les ensorceler pour captiver l'attention de tous ceux qui les voyaient. C'est ainsi qu'elle se fit un nom dans le domaine de l'art, avec quelques coups de baguette. Elle avait rencontré James Inwood quelques années auparavant, un sorcier aussi oppurtuniste qu'elle et avait succombé à son charme.

Comédien sans talent, James obtenait ses rôles grâce à sa force de conviction et lui aussi, quelques petit sorts utiles. Mais le salaire de Jessy était amplement suffisant, et le sorcier ne travaillait que pour s'autosatisfaire et se persuader de son talent d'acteur. Bientôt, ils emménagèrent à SoHo, banlieue huppée de New York. James avait toujours été un incapable, et vivait aux crochets de sa femme. Pour lui faire plaisir, il accepta d'avoir un enfant, et un seul. C'est ainsi que Jessy donna naissance, le 23 Mars 1983, à Logan Inwood. Comme je le disais, on lui apprit bien rapidement que la seule façon d'être heureux dans la vie était de faire le maximum pour se satisfaire soi-même. Les principaux buts de l'existence de tout homme qui se respecte : la richesse et la popularité, la réussite. L'amitié, de préférence à sens unique (pour réussir, mieux valait ne pas s'attacher). L'amour ne venait qu'en second plan, et c'était un ami versatile, qui faisait plus de mal que de bien...

Pour le moment, Logan avait tout cela. La richesse de ses parents, la popularité du fils de Jessy Inwood, ce gamin si mignon et si prometteur. Il fut choyé, et grandit avec cet égoisme qu'ont les enfants trop gatés. Mas loin d'être un tare, ses parents se réjouirent de son égoisme. Logan avait hérité du charme de son père, fougueux et mystérieux. Ses manières de petit prince, son assurance, ne laissait personne indemmne. A dix ans, une lettre lui parvint. La lettre d'une Ecole de Sorcellerie renommée aux Etats-Unis. Très renommée, la meilleure selon les américains et leur patriotisme. Jessy et James furent fous de joie. Logan allait entrer dans la plus prestigieuse Ecole du Monde, et allait devenir un grand sorcier ! Comme eux, il utiliserait ses pouvoirs à des fins personnelles, et réussirait sa vie comme eux l'avaient réussie ! Car il ne manquait plus que cela à Logan pour être parfait : la magie. Il avait certes appris quelques petits sorts, la législation étant plus souple aux Etats-Unis et autorisant aux mineurs l'utilisation de la magie, mais ce n'étaient que des sortilèges de débutants, et en allant là-bas, leur fils aurait toutes les chances de s'ouvrir toutes les portes, que ce soit du monde Magique ou Moldu.

Puis, un évènement chamboula quelque peu les plans qu'ils avaient prévu. Depuis qu'il avait rencontré Jessy, James s'était toujours tu devant elle, profitant largement sans vergogne de sa richesse et de sa popularité. Grâce à elle, le prestige de ses rôles avaient augmenté, et ses prestations minables étaient applaudies. Jessy était amoureuse de lui, mais n'était pas aveugle. Elle connaissait la raison de la présence de James à ses côtés. Elle lui accordait donc tous ses avantages, et demandait quelques choses en échange. Dont le principal élément de sa vie, Logan. James n'avait jamais souhaité d'enfant, mais avait accepté pour Jessy. Il ne l'avait jamais regretté, s'occupait rarement de lui, jouant le papa poule lorsqu'ils recevaient à la maison, pour se donner bonne conscience et surtout bonne impression. Ces faveurs que se concédaient les époux n'avaient pas de réelle conséquences pour l'autre. Mais un jour, James alla beaucoup plus loin.

On lui avait proposé un rôle important dans une pièce de théatre d'un auteur narcissique et surtout très riche, sensée faire une tournée mondiale. Mais le réalisateur changea d'avis, et décida, par manque de moyens, de ne la faire qu'en Angleterre, où elle convenait plus au public. Jessy refusa tout d'abord. Cela changeait énormément de choses ! James ne demandait pas seulement de partir un ou deux ans, mais d'y rester, de s'acheter une grande maison ou même une villa, pour couler des jours paisibles loins de l'agitation de New-York. Jessy, qui aimait sa vie actuelle, refusa tout d'abord. Ce fut la première fois que le couple se disputait si violemment. Logan avait toujours été élevé par la Nounou, mais aussi par sa mère quand elle le pouvait. Malgré son égoisme, Jessy aimait Logan du plus profond de son être. Il était ce qu'elle avait de plus précieux après elle-même, la chair de sa chair, donc une partie d'elle. Logan, comme les enfants aimés sans être surprotégés, juste comme il faut, le lui rendait bien.

Pendant cette période où les époux se balançaient des insultes à la figure, Jessy n'hésita pas, dans sa rage, à monter Logan contre son père, dire qu'il était un pauvre bougre, incapable de se débrouiller tout seul, qui l'avait épousé pour son argent. Qu'il se foutait de son fils comme de sa femme, qu'il ne vivait que pour le succés de sa pathétique existence. Logan la crut, et vit son père d'un tout autre regard. Car ce n'était pas seulement le venin d'une femme humiliée, mais la vérité pure et simple. Comment avait-il pu se voiler la face ? L'amour et l'admiration qu'il avait porté à son père se changea en colère, puis en une haine glaciale et indifférente. Il le haissait, mais vivait sous son toit. Une indifférence froide, où se cachait un profond ressentiment.

Mais cette mauvaise période pour le couple ne fut heureusement qu'une passe, et Jessy, sous le poids de son amour pour son imbécile de mari, ceda. Finis les projets de Grande Ecole pour Logan, fini la célébrité. Jessy continuerait à vendre des toiles, juste assez pour pouvoir subvenir à leurs besoins. A dix ans, Logan et sa famille partirent donc pour Londres. Logan avait toujours entendu quel grands pays étaient les Etats-Unis, que rien n'y était comparable, et le cliché silencieux disant que tout autre Etat que les USA était un coin pommé. Jessy eut en horreur l'Angleterre. Elle le transmit instantanément à son fils. Qu'avaient-ils en commun avec ces Européens, à part la langue ?

Dés son arrivée en Angleterre, il détesta ce pays. Pourquoi ? Il se sentait perdu, sans repères. Et ça, il ne le supportait pas. Il remarqua chaque défauts des habitants de la Nation, chaque petit travers du système. Son esprit critique, déjà affuté par les commentaires acerbes de sa mère, devint très vif. Il notait chaque détail négatif, ne laissant rien passer. Ce fut bientot une habitude. Il devint pessimiste à tout propos, critique et provocateur. Son esprit de contradiction granndit aussi.

Puis vint le moment d'entrer en Ecole de Magie. Ses parents acceptèrent sans hésiter lorsqu'ils lurent la lettre de Poudlard l'invitant à rejoindre leurs rangs. C'était la plus grande Ecole de Royaume-Uni, celle qui fallait à leur fils. Logan détesta aussi cette école dés le début. Son père s'occupait encore moins de lui, et jouait encore plus au père parfait devant les autres gens. Mais a chaque fois qu'il essyait d'amadouer l'enfant, il se faisait sévèrement jeter. Jessy aussi avait adopté cette haine silencieuse pour James. Mais, vous me direz, n'était-elle pas sensée l'aimer ? La haine et l'amour sont si proches, seuls les mots différents les séparent. James n'en avait strictement rien à faire, puisqu'elle ne l'empechait pas de piocher dans leurs économies. Il continuait sa pièce miteuse, et son ego enflait, enflait... Logan, finalement, ne fut pas si mécontent de le partir pour aller à Poudlard.

Poudlard, première année.

Sur une lettre, Logan a écrit:

Maman. J'ai été envoyé à Serpentard. J'aimerais essayer d'être fier, pour que tun ne te fasse pas de souci, mais je n'y arrive pas. Comment a-t-on pu me répartir dans une Maison comme celle-ci ? Tous les autres élèves disent que tous ceux qui y sont sont mauvais. Maman, tu m'as toujours dit que ce que je faisais était très bien, que mes propres intérêts comptaient et que cette chose qu'on appelait "égoïsme" était une forme certaine de détermination, et une voie vers la réussite. Tu m'a appris à me méfier de tout, à ne jamais croire naivement ce qu'on me disait. Aujourd'hui, toutes ces valeurs dont j'étais fier, sont rejetée par la plupart. Les membres de ma Maison me félicitent bien, m'encouragent dans cette voie, mais ce n'est qu'un quart des élèves, les autres sont tous contre moi. Et ils ne sont pas comme moi, je le sens. Pas tous, mais certains sont mauvais. Je ne suis pas mauvais ! J'ai toujours oeuvré pour moi, mais jamais contre les autres. Les autres ne m'intéressent pas, il n'y a que moi... et toi. Maman, j'aimerais tellement revenir près de toi, à SoHo, dans notre si bel appartement. Sans Papa, rien que toi et moi. Pourquoi ne le laisses-tu pas ? Ce que tu appelles "amour", je ne le comprendrai jamais. Toi qui t'es toujours rebellée contre tout, te laissef faire à ce point par cet imbécile ?! Je t'avoue que ça me révolte... Mais bon. Si tu te poses la question, je ne me suis pas encore fait d'amis. Les Serpentards sont trop... je ne sais pas ! Ah Maman, parfois j'ai l'impression que cet esprit de contradiction que tu m'as legué me bouffe la vie... Les Serpentard sont trop différents de moi... ou peut-être trop similaires ? Les autres sont trop... Ah Maman, si tu savais comment je me sens perdu... et je déteste ça ! Je hais ce sentiment plus fort que n'importe quelle autre chose... Je veux retourner à la maison, avec toi !

Bon, je vais maintenant faire comme si j'étais un enfant parfaitement intégré, et il te suffira d'oublier ce que je viens de te dire. Je dis ça sérieusement Maman, je ne veux pas que tu souffres par ma faute. C'est étrange, des fois j'ai l'impression que tu comptes plus que moi-même à mes yeux... Pour quelqu'un qui a toujours été élevé, encouragé à être égoiste, n'est-ce pas le comble ? Même les gens dits "généreux" ne ressentent pas cet amour inconditionnel que j'ai pour toi, j'en suis sur. Bon. Comment va Papa ? Est-ce que sa pièce marche bien ? (Ne t'occupe pas de répondre à ces questions, je n'en ai strictement rien à faire.) Et toi, tes oeuvres marchent bien ? Lorsque j'aurai appris pleins de sortilèges, je pourrai peut-être t'en apprendre pour que tes tableaux envoutent encore plus ! Je te laisse, je crois que j'ai cours de potions.
A bientot Maman, je travaillerai bien ne t'inquiète pas, juste pour toi.
Je t'aime Maman,

Ton Logan.

Les vacances d'été.

Pendant les vacances, lorsque Logan rentra à Londres, il était devenu un adolescent. A 11 ans, il était bien plus mature que les garçons de son age. Il commença sa crise, et répondit à son père, la provoquant sans cesse. James, qui ne supportait pas ce manque de respect, commença à être violent. Mais pas devant Jessy, qui ne l'aurait jamais supporté. Et Logan, qui ne voulait pas que sa mère souffre, ne disait rien et camouflait ses bleus. Poudlard était devenu à la fois une délivrance, mais aussi un crève-coeur, le fait d'abandonner sa mère aux mains de James insupportant de plus en plus Logan.

Et les années passent...

Sur cette lettre, il y a écrit:

Maman, je t'écris cette lettre que tu ne recevras sans doute jamais. Je sais que Papa intercepte toutes les lettres que tu reçois, et ne te donne pas les miennes. Ca ne m'atteint pas, je sais que quoi que je fasse tu es là, dans mon coeur. Même pendant les vacances, il arrive à nous éloigner, à te faire aller à New-York quand je suis là. Mais de toute façon, ce que je t'écris restera secret. J'ai ensorcelé mes lettres de façon à ce que toi seule puisse les ouvrir. Mais sache que je garde une copie de chaque lettre que je t'écris. Et l'été prochain, je te remettrai en main propre ce tas d'enveloppes. Mais d'un autre côté, j'hésite à t'écrire tout ça. Car c'est très, très personnel. Beaucoup plus qu'avant. Alors je me lance.

Cette année, je me suis enfin décidé à m'inscrire à l'Equipe de Quidditch de Serpentard. Non pas que je souhaite défendre ma Maison pour laquelle j'ai n'ai toujours aucune fierté, mais pour jouer, tout simplement, à ce jeu enivrant qui me fait tout oublier. Je suis batteur. Je ne sais pas si tu connais ce jeu, mais si jamais tu ne te souviens plus, je vais te rappeler le rôle du batteur. Au Quidditch, deux balles ensorcelées, les Cognards, ont pour but de se jeter sur les joueurs pour les faire tomber de leur balai. Les batteurs (ils sont deux par équipe) ont une batte, avec laquelle ils frappent les cognards dans la direction des joueurs de l'équipe adverse. Et je le dis volontiers, je frappe les cognards très fort ! Tu sais comment je fais ? Je pense à Papa... En définitive, je pense que je ne te donnerai pas cette lettre. Enfin je verrai. Oui, donc, je pense à Papa. Ce con qui ose t'emprisonner. Je m'en fous de ce qu'il peut bien me faire, ce qui m'importe, c'est toi. Je te jure que s'il ose toucher à un seul de tes cheveux...

Donc, le Quidditch. Ce jeu me plait. Beaucoup. Mais c'est pas de ça que je voulais te parler. Je joue donc dans une équipe. Dans une équipe de Quidditch, il y a trois poursuiveurs, deux batteurs, un attrapeur et un gardien. Mais il y aussi des Pompoms girls. Et... Bon voilà, j'ai rencontré quelqu'un. Elle est pompomgirl dans l'Equipe de Gryffondor. Ah Maman, si tu savais comment je me sens idiot en ce moment, penché devant ma feuille ! Dit avec des mots, cela semble si... niais. Si normal. Mais je te jure que ça ne l'est pas ! Depuis que j'ai vu cette fille, je n'arrête pas de penser à elle, je ne suis plus moi ! Devant elle, ej bafouille, je me sens tellement bête ! J'ai horreur de ça... et en même temps, je me sens tellement bien dés que je la vois ! Est-ce que c'est ça ce que tu appelles l'amour ? Si c'est ça, cette chose qui te lie à Papa... je te comprends, mais en même temps, ça me fait très peur ! Je ne veux pas être enchainé à elle, je... je... en fait, je ne rêve que de ça ! Alison est une fille géniale, mais j'ai peur de ce qui pourrait se passer... Je ne sais pas. Ecoute, j'ai l'esprit trop embrouillé pour tout ça. J'espère que tu vas bien, c'est mon souhait le plus cher.
Fais bien attention à toi Maman, je t'aime.

Logan.

Sur sa dernière lettre adressée à sa mère, Logan a écrit:

Coucou Maman. Ca fait maintenant près d'un an que je ne t'ai pas vu, depuis les vacances d'été de ma cinquième année. Tu me manques terriblement. Des fois, je te jure, j'ai une terrible envie de tout casser, et surtout... Je te jure, si je pouvais, je le tuerais. Mais je ne veux pas te faire souffrir, j'ai trop peur de te faire souffrir. Alors je reste là, pétrifié de terreur, sans rien faire. Maintenant que je connais moi aussi l'amour, je ne peux que savoir ce que tu ressens. Je ne le sais que trop bien. Tout ce qui t'arrive n'es que pure malchance. Maman, je suis sur qu'il te bat. Ne te laisse pas faire ! Montre-lui ta force de caractère ! Il ne peut pas vivre sans toi. Il ne t'aime eput-être pas autant que toi, il n'est peut-être pas enchainé à toi, mais sans toi, il serait pauvre, et perdu. Ne te laisse pas faire ! J'aimerais tant te parler. Si tu étais en face de moi, maintenant, je te demanderais, droit dans les yeux, ce que tu préfères. Tu n'as qu'un seul mot à dire, et je le ferai. Dis oui, et je tuerai Papa. Je le tuerai comme il te tue à petit feu. Je suis persuadé que s'ils disparait, ce sera la meilleure chose qu'il puisse t'arriver. Mais je ne suis pas toi, et je ne peux pas savoir à ta place. Je n'en ai pas le droit. Mais je te promets que la prochaine fois que je te verrai, je te la poserai cette question. Et je ferais ce que tu me demandes, sans aucune hésitation. J'espère que tu seras à la hauteur de tes paroles, et que tu seras assez égoiste pour me répondre franchement. Sans te préoccuper de moi. Ce serait idiot, très idiot. Ce jour arrivera, je te le promets. Il ne nous séparera pas pour toute la vie.

Je suis toujours avec Alison. C'est une fille géniale. On peut dire que je l'aime à la folie. Tu sais, toi, la vie a vraiment été injuste avec toi. Tout ce que tu as fait, a été détruit parce que tu es tombée amoureuse de la mauvaise personne. Moi, j'en suis sure, Alison est la bonne. Elle est formidable. C'est plutot mon opposé, et j'aurais presque envie d'être gentil, rien que pour elle. En tou cas, ce qui est sur, c'est qu'avec elle je le suis ! Tu me verrais, tu ne me reconnaitrais pas ! Je perds tout mes principes quand je la vois. Et je la protège...beaucoup trop ! Il ne se passe pas un seul instant sans que je m'inquiète pour elle. Elle semble tellement fragile... Mais elle ne l'est pas, elle a une force de caractère incroyable. Et...je suis jaloux. Oui, tu as bien entendu, moi, jaloux. Je déteste chacun des garçons qui traine autour d'elle. J'ai horriblement peur de la perdre, à chaque minute, à chaque seconde. J'ai confiance en elle, bien sur, mais il y cette peur irrationnelle qui s'empare de moi à chaque fois je la vois... Cette petite voix qui me dis que c'est trop beau, que ça ne peut pas durer, et qu'il faut que j'apprécie chaque instant... On dit qu'un enfant reproduit le schéma que ses parents, surtout au niveau de l'amour... Crois-tu que je serais comme Papa ? C'est impossible, pas avec Alison ! Je suis doux comme un agneau avec elle... Je serais incapable de lui faire du mal !

Bien des choses ont changé à Poudlard. J'en suis plutot content d'ailleurs ! Un nouveau directeur a succedé à Dumbledore... on va voir comment il va se débrouiller... Il a l'air d'avoir sérieusement attrappé la grosse tête ! Il a même crée une maison à son nom, la Maison Farfadus... et devine quoi ? Je suis dedans ! J'ai changé de maison ! J'en suis très content. C'est une maison qui regroupe tous les élèves trop complexes pour les autres maisons... Ici, il y a des gens différents, tout plein ! Et je ne serai pas dans la maison ennemie de celle d'Alison... Bon, je te laisse Maman, je dois y aller. Porte-toi bien, j'ai hate de te voir. C'est promis, déés que j'aurai mon permis de transplaner, je ferai tous les endroits de la Terre pour te trouver ! Et ce jour-là, je te poserai cette question... Maman...
Tu me manques.

Logan.