Farfadus Poudlard
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Farfadus Poudlard


 
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 Nymphaea Faithleen

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2 participants
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Nymphaea Faithleen
Ravenclaw's student ~ Six Year at Hogwarts <3
Ravenclaw's student ~ Six Year at Hogwarts
Nymphaea Faithleen


Nombre de messages : 30
Age : 33
Maison : Serdaigle
Année : Sixième Année
Date d'inscription : 07/09/2007

Fiche RPG Farfadus
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MessageSujet: Nymphaea Faithleen   Nymphaea Faithleen Icon_minitimeDim 30 Sep - 19:50








Prologue


Nom : Faithleen.
Prénom : Nymphaea.
Age : 16 ans.
Date de Naissance : 3 janvier.
Maison/Année : Serdaigle, Sixième année.





Premier Chapitre


Caractère :
Qualités
La plupart de ses qualités apparaît dès le premier coup d’œil que l’on jettera sur lui : droit, sérieux, élégant, calme, responsable, intelligent, réfléchi, vif, maître de lui-même, sage, pondéré, poli, courtois, beau, riche, sachant faire face avec tact et assurance devant toutes les situations et semblant avoir une prédisposition naturelle pour être remarqué sans faire pourtant le moindre effort. Pas particulièrement bavard, les paroles qu’il laissera s’échapper seront sensées et réfléchies. Il paraît être l’Incarnation même de l’Excellence par ses excellents résultats et sa conduite irréprochable.
Plus profondément, au-delà de la simple apparence, sa façon de veiller avec douceur et attention sur les personnes qui lui sont chers est l’un de ses seuls bons côtés véritablement personnels. Il sait agir avec discipline et de manière efficace pour tirer quelqu’un de son entourage de l’embarras, se montre particulièrement protecteur envers sa sœur Losumia sans qu’elle ait l’occasion de s’en rendre compte. C’est justement cette discrétion qui est un précieux atout.
Le tout forme cet héritier digne de confiance, devenu particulièrement prometteur aux yeux de son père.

Défauts
Son apparence renfermée peut rebuter, inciter les autres à passer leur chemin sans le connaître. De même, sa politesse exagérée désespère ceux qui sont passés outre de vraiment compter parmi les gens qui lui sont chers, ou, pour les plus anciennes connaissances, peut quelques fois les inciter à s’interroger sur la réalité de leurs rapports, même pour Hestia qu’il a pourtant accepté comme petite-amie. Nymphaea reste trop placide et trop sérieux pour paraître sincère. Pour les autres, cette perfection apparente énerve, ne fait que développer leur jalousie : il est facile de faire une confusion entre un caractère froid et de l’arrogance. Ce masque de glace, d’ailleurs, entretient une certaine distance entre ceux qui voudraient plus ou moins légitimement l’approcher.
Ses défauts vraiment personnels, Nymphaea les garde tout au fond de lui-même, sans que personne ne puisse s’en douter, comme le lui a incité l’enseignement implicite de son père. À force de maintenir cette aura de perfection, de se refuser tout ce que les autres se permettent, il a, d’une part, développé un côté sombre, égoïste, violent, taciturne, mais, surtout, a appris à se laisser porter par ce dernier. Nymphaea peut parfaitement se contenir sur de très longues périodes ; la cuve peut se remplir lentement ; il peut ajuster sa profondeur au temps qui passe. Mais, tôt ou tard, il laissera l’écume bouillante en jaillir, quand le moment sera venu, quand il n’y aura personne de son entourage pour l’observer, et n’obtiendra satisfaction qu’en s’en prenant à des êtres vivants, hommes ou femmes, ceux capables de gémir, de hurler de douleur, de tenter de se défendre, ceux qui tenteront de ne pas rester passif. Loin de lui l’envie d’entendre des suppliques pour en tirer un quelconque sentiment de puissance : il voudra seulement savoir qu’il est la cause de leur souffrance. Il n’a jamais suffisamment amoché quelqu’un pour que ses jours soient réellement en danger : néanmoins, dans ces moments-là, il est incapable d’opérer une distinction entre faire du mal et tuer.
L’autre partie concerne sa relation avec sa petite sœur Losumia. Malgré toutes ses tentatives, il n’arrive pas à la voir comme la sœur qu’elle est ; plus le temps passe, plus elle se révèle être une ravissante jeune femme dont il se serait permis de tomber aussitôt amoureux si elle était née sous un autre nom. C’est bien là la seul part de lui qui lui fait occasionnellement peur : il se rend compte qu’il salit l’image même qu’il conserve d’elle en outrepassant les considérations qu’il pourrait se permettre en ce qui la concerne. Le tout forme un affrontement confus dans sa tête, qui le tiraille de part et d’autres, et duquel il sait qu’il ne sortira jamais entier.


Aime/Aime Pas :
Comme il lui a été enseigné, Nymphaea ne montre ouvertement ses préférences à personne. Pourtant, une sorte d’idées préconçues découlent de son attitude, et beaucoup ont considéré que ce qu’il aimait ou pas était bien ce que l’on s’attendant à ce qu’il aime ou pas. Dans ce genre d’impressions et d’éléments disparates, on en est venu à la conclusion qu’il préférait le silence au bruit ; qu’il arborait toutes les musiques contemporaines pour se réfugier dans l’écoute de morceaux de musique classique ; qu’il n’aimait pas la trop grande proximité ; qu’il aimait prendre ses repas à heures fixes ; qu’il préférait se lever tôt que de se coucher tard ; qu’il appréciait particulièrement le bleu de Serdaigle, les oiseaux et les vêtements discrets (mais de marque) ; qu’il se réfugiait dans la lecture par pur plaisir ; qu’il devait beaucoup aimer sa sœur mais qu’il préférait la laisser dans on univers parce qu’il se montrait distant avec elle ; qu’il aimait diriger ; qu’il devait être profondément épris de la petite Hestia de Poufsouffle pour s’être entiché d’elle alors que rien ne semblait apparemment les rapprocher.
Les seules donnés confirmées restent, d’une part, un don pour trouver intérieurement drôle ce qui ne choquera personne d’autre outre mesure (sur un plan plus proche de la condescendance qu’autre chose), de l’autre, son aversion pour la noix de coco : profondément allergique, il est capable d’en reconnaître la trace à plusieurs dizaines de mètres.


Physique : On ne pourra pas avoir de doutes là-dessus : Nymphaea est bien le fils de sa mère. Il partage avec elle un visage fin, régulier et sans aspérités bien qu’il donne une impression beaucoup plus dure et sévère que celui de sa génitrice. De sa grand-mère paternel, il a certainement hérité de ce formidable pouvoir d’attraction qui fascinait tant, à son époque ; mais combiné à la beauté naturel de Nymphaea, il n’en est que bien plus redoutable.
Les yeux du Serdaigle sont, quoi qu’en dise la lumière, bleus. Généralement, ça n’est pas ce détail-là qui va particulièrement attirer l’attention : lorsque son regard se pose véritablement sur quelque chose, il est glacial et aussi aiguisé qu’une lame affûtée pendant des heures, aussi, après quelques accidents malencontreux, finit-on par retenir la leçon pour ne jamais se retrouver yeux contre yeux. Élément que l’on remarquera difficilement à part en le recherchant de soi-même : sombres, se séparant en plusieurs mèches inégales mais soigneusement rangées, les cheveux de Nymphaea sont… bleus. Pas un bleu vif ni remarquable ; d’ailleurs, il serait plus juste de dire que ce ne sont que des reflets bleus, observables occasionnellement. C’est bien là la seule fantaisie qu’il s’est permise, lorsqu’il a été question de les décolorer à l’air liquide. Au final, ils restent fidèles au personnage, s’imbriquant parfaitement dans le mur glacial qu’il tend à montrer.
D’à peu près tous les points de vue, on pourra conclure que Nymphaea est « grand » tout en rentrant dans les tailles moyennes de ses années (1, 81 mètres) : son habituel pas rapide, guindé mais pourtant fluide, aura tendance à le grandir un peu aux yeux de ses condisciples, sentiment renforcé par son corps fin et agile qui évolue avec aisance dans le monde. Nymphaea n’a rien de l’adolescent qui a grandi trop vite et qui n’est plus qu’une brindille bonne à être brisée. Il a appris à transformer son univers soit en son habitat, soit en son territoire, à maîtriser ses capacités, à en connaître la profondeur.





Deuxième chapitre


Famille : La famille Faithleen est célèbre tant dans le monde magique que moldu. Nymphaea a toujours eu une vie aisée, a toujours été habitué à un certain luxe, compensation de l’absence quasi-permanente de ses géniteurs. Pour lui, seul sa famille proche, composée de ses parents et de sa sœur Losumia, compte : le reste n’est qu’un ramassis d’individus ayant des liens plus ou moins fort avec sa famille (même s’il doit avouer que son cousin Alexander l’insupporte particulièrement). On distingue donc :
· Aliseastre Faithleen : Héritier de la brillante famille Faithleen, le père de Nymphaea est un homme autoritaire qui n’a pas hésité à imposer à son fils la vie qu’il devait suivre s’il voulait être reconnu comme digne de lui. Nymphaea s’est plié à ses exigences sans protester, ne gardant même pas de griefs contre lui, mais, par conséquent, il le voit plus comme un examinateur ou un précepteur que comme son père. C’est probablement pour combler cette impression qu’il réitère trop périodiquement pour paraître naturel l’appellation « Père » en sa présence.
· Dania Faithleen, née Cahill : Sa mère. Si on retrouve le côté envoûtant de sa grand-mère paternelle en lui, nulle doute qu’il a hérité de la beauté de Dania. Elle s’est toujours adressée à Nymphaea avec un respect peut-être trop obséquieux, trop occupée par la vie de luxe qu’elle menait pour vraiment s’attarder sur son fils. Récemment, Nymphaea a commencé à la désigner de la même manière que son père, de façon polie, mais froide et distante comme pour mieux mettre en évidence le fossé qui s’est créé.
· Lusumia Faithleen : La petite sœur de Nymphaea. Dans sa famille, c’est véritablement à elle qu’il est le plus attaché. Vraiment attaché. Trop attaché. Face à cet adorable enfant , le jeune homme a pris progressivement ses distances, lorsqu’elle a atteint l’âge de raison. Il s’est mis à la vouvoyer, à l’appeler « très cher sœur », se refusant au moins à la nommer « ma sœur », et elle a cru qu’il s’était toujours comporté comme ça vis-à-vis d’elle. Si Nymphaea a bien décidé de la traiter avec déférence pour détruire le pont entre lui et elle, pour son bien, il n’a néanmoins pas réussi à faire taire ses impressions et ses sentiments qui le dérangent, se sentant même coupable de la satisfaction qu’il éprouve en constatant qu’elle a souffert de cet éloignement. Mais quelle que soit la solution qu’il essaie de trouver, le résultat es le même : Nymphaea a du mal à la considérer seulement comme sa sœur


Amis/Ennemis : Par son visage, ses côtés sérieux, calme, réfléchi, peu bavard et distant, Nymphaea a tendance à attirer les foules, et, à l’inverse, à être une source de jalousie ou d’énervement face à ce profil qui paraît si parfait sans montrer de fierté ou d’arrogance. Serdaigle lui convient bien en cela : de nombreux points communs avec les serpentards, mais l’intelligence suffisante pour ne pas rentrer dans un conflit qui l’opposerait à des gryffondors ou à des poufsouffles. Ses rapports sont teintés de dignité et de politesse envers ceux qu’il côtoie. Enseignements de son père : lorsque l’on dirige une famille, il faut savoir s’entendre avec tous. L’inimité d’aujourd’hui peut devenir l’obstacle de demain. Entretenir les possibilité. Ne pas se fermer de portes.
De ses nombreux amis et des nombreuses personnes qui gravitent autour de lui, on peut citer :
· Hestia Klarson : sa petite-amie. Ce qui étonne beaucoup, tant chez les élèves que les adultes. Elle est spontanée, naïve (parfois jusqu’à la stupidité), maladroite, collante, têtue, manque cruellement de tact et de jugeote, pas spécialement perspicace et rit beaucoup trop souvent pour coller à l’image de marque que renvoie Nymphaea. L’héritier de Faithleen le reconnaîtra volontiers, ajoutant même quelques adjectifs peu élogieux supplémentaires. Pourtant, il n’a pas vraiment quelque chose contre Hestia. Bien sûr, il n’est pas réellement attiré par elle, ne lui reconnaît, à l’évidence, que peu de bons côtés ; mais ses défauts ne l’affectent pas non plus. En fait, on pourrait presque dire qu’elle l’indiffère, tant qu’elle ne le colle pas trop souvent. Comme elle est la meilleure amie de sa sœur, elle lui permet aussi de se rapprocher indirectement d’elle ; mais Nymphaea mentirait si (j’ai bien dit si) il prétendait avoir voulu l’utiliser comme ça.
[A compléter]


Baguette Magique : 23,4 centimètres, bois de chêne, crin de licorne.
Animal : Aucun.
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MessageSujet: Re: Nymphaea Faithleen   Nymphaea Faithleen Icon_minitimeDim 30 Sep - 19:51

Troisième chapitre


Histoire :

Droit. Rectitude. Tu dois contrôler chaque muscle, chaque expression. Ne sois jamais étonné. Apprends à être « toi », à maîtriser toutes les facettes qui sont les tiennes. Ne souris pas naturellement ; le sourire laisse transparaître l’hypocrisie. Considère que tu es en permanence sur un fil, tendu au dessus du gouffre. Tu n’as pas le droit non plus de t’y accrocher si tu glisses : tes mains sont attachés derrière ton dos. Continue, trouve ton rythme, ton pas – mais plus vite, plus vite ! Ne tremble pas, accélère ! N’expire pas aussi fort, prend conscience de ta respiration, c’est la seule chose que tu dois ralentir. On ne doit pas voir que tout cela te demande des efforts. Chez toi, tout doit paraître naturel, simple. Apprends à avoir l’habitude.


Contrairement à ce que l’on aurait pu comprendre, Nymphaea s’est imposé lui-même ses barrières. Du moins ; difficile de dire jusqu’où va l’influence de son père. Le propre d’un conditionnement, c’est après tout de croire qu’il vient de soi. Les leçons silencieuses, les sourires, Nymphaea les a tirés à son profit ; et dès qu’il apprit à parler, ce ne fut que pour parler comme ses parents, avec politesse et raffinement.
Âgée d’un peu moins de deux ans, sa sœur a, dans ses souvenirs, toujours été là. La petite fille qui a grandi à ses côtés, qu’il a apprit à protéger comme la sœur qu’elle aurait dû rester à ses yeux. « Bon garçon ». « Enfant précoce ». « Quel ravissant chérubin ! ». À tant d’efforts, tant d’éloges. Nymphaea apprit à les recevoir comme allant de soi, mérité. Il apprit à se fixer comme son propre modèle, pour ne pas vouloir atteindre quelque chose de trop idéal pour pouvoir être approché.
Nymphaea grandit dans cette famille où la conception de famille semblait erronée, emplie de trop de distances et de faux-semblants pour paraître naturelle. Il apprit à protéger sa sœur, à veiller à ce qu’elle ne soit jamais seule. L’éloignement dont il avait jugé ses parents responsables, il l’entretint, le développa ; il ne venait plus vers eux. Seule Losumia était restée celle qui n’avait jamais cherché à le blesser. Losumia n’attendait rien de lui, et Nymphaea voulait, pour cette raison, tout lui donner, il voulait se montrer digne d’elle. Il apprit à ne plus se la représenter comme sa sœur ; elle était devenue ce tout, cette entité qui resterait toujours auprès de lui. Mais elle était la fille de ses propre parents, ses parents dont il n’arrivait plus à avoir confiance.
Par angoisse, par esprit de contradiction peut-être, Nymphaea s’éloigné d’elle et ne l’appela plus jamais « Losumia ».

Il n’y a pas de dieu. Il n’y a jamais eu de Dieu. Les Dieux n’étaient que des mensonges : comment auraient-ils pu permettre la naissance de tels sentiments ? C’est un coup du sort, peut-être. On dit que lorsqu’un frère et une sœur naissent en temps que jumeaux, c’est qu’ils sont la réincarnation d’amants suicidés. Si Losumia était née quelques mois plus tôt, Nymphaea aurait pu y voir-là une tentative d’explication…
Mais comment faire ? Losumia ne le tolérera pas. Elle brille, rayonne tellement qu’elle impose sans le savoir cette distance entre elle et lui. Par sa grâce, par sa pureté, par sa perfection, elle tient son frère à distance. Le pouvoir de Losumia est ainsi ; elle impose ces barrières de glace à ceux qui veulent l’approcher. Tant mieux. Si lui ne la touche pas comme ça, personne ne le fera.

Nymphaea se perdit dans ce tiraillement qui l’écartelait chaque jour un peu plus. Comment la considérer ? Combien de temps arrivera-t-il à se taire ? Cette passion disparaîtra t-elle un jour ? Il sait que, quelles que soient les réponses, il ne doit pas franchir un certain cap. Le temps a déjà passé, depuis les jeux d’enfants et les sentiments platoniques. Il a déjà treize ans, il commence à voir sa sœur comme la ravissante demoiselle qu’elle devient. Mais il ne faut pas. Faire ça, enjamber cette distance, ça serait perdre pour toujours cette chose si cher à son cœur. Il ne faut pas. Il faut juste attendre.

La seule solution que Nymphaea a trouvé, c’est celle d’entretenir lui-même le fossé qu’a creusé Losumia. Lorsqu’il a commencé à prendre progressivement ses distances, elle en a été blessée, il l’a bien vue. Un curieux mélange s’est ajouté au reste, entre l’envie pressante de tout abandonner pour la serrer dans ses bras et la satisfaction, l’espoir, même, de constater qu’il est la cause de sa souffrance. Il module ses sentiments à elle ; il peut créer sa douleur ! il revêt un importance telle à ses yeux ! Pourtant, il ne faut pas.

Ce qui devait être une tentative d’étouffement a échoué ; il n’en tire qu’un profond réconfort. Son but n’est pas désintéressé, et il le sait. Il en a peur, mais continue de s’éloigner, de s’effacer, pour qu’à chaque fois, ce soit elle qui vienne, elle qui le cherche, elle qui s’approche, elle qui soit perdue sans lui. Ou bien pour la protéger ? Ses objectifs, sa raison ou ses sentiments l’emportent tour à tour. Ils changent constamment, se reprochant l’un l’autre soit leur idéalisme, soit leur impureté. Qu’importe le temps qui s’écoule, tout est voué à rien : il n’osera jamais la salir avec ses sentiments impurs. Elle doit rester son idole, sacrée, intouchable, inviolable. Puisque la simple conclusion « Parce qu’elle est ma sœur » ne fonctionne pas, il doit rester à sa place « Parce qu’elle est Losumia ». Il voudrait qu’elle vienne docilement à lui. Mais, une autre part, plus profonde, lui répond qu’il voudrait qu’elle reste comme elle, qu’elle n’aille pas dans son sens. Nymphaea est condamné : si la condition même de son bonheur le plus profond était remplie, tout s’écroulerait, toutes ses valeurs s’effondreraient. La seule solution de faire disparaître à tout jamais ce désir qui le presse, ce serait de lui apporter satisfaction, en détruisant du même coup l’objet aimée. C’est pour ça qu’il ne faut pas. Plus que parce qu’elle est sa sœur, parce qu’elle est Losumia.
Ses émotions viennent gonfler la cuve par gouttes intermittentes.


~~~~~~



Son entrée à Poudlard fut l’occasion pour remettre au clair le chaos de son esprit. Réparti à Serdaigle. Seul, sans sa famille ; élève attentif, doué, studieux. Peut-être un peu trop froid et distant avec ceux qui auraient naturellement dû constituer son entourage. Modèle d’excellence qui installe ses bases pour mieux rayonner ; Nymphaea profita de cette année pour mettre à l’épreuve cette façade qu’il s’était crée.
En parallèle, les gouttes continuaient de tomber dans la cuve.

Deuxième année. Plus seule ; maintenant, Losumia est partie avec lui. Elle qui ne connaît personne cherche souvent sa présence, comme l’enfant perdue qu’elle est ; mais lui la fuit. Dès qu’il est près d’elle, il a de plus en plus de mal à respirer. Il étouffe. Elle a grandi, cette année où il était loin d’elle. Elle a embelli. Elle est devenue « meilleure », et lui ne s’est toujours pas hissé à son niveau. Il suffit qu’ils se retrouvent ; Nymphaea ne compte plus le nombre de « Grand-frère… ? » interrogatifs alors qu’elle le cherche et que lui ne sort pas de sa cachette, incapable de faire rentrer ce fichu air dans ses poumons.


Puisque Losumia est tout, il ne devrait avoir besoin de rien d’autre. La compagnie lui rappelle seulement qu’elle est absente. Les années passent, Losumia est toujours aussi parfaite, de moins en moins sa sœur, et tout s’empire. Ses résultats sont toujours aussi excellents, sa conduite toujours irréprochable.
Et la cuve continue à se remplir.


Les années passèrent. Pas de changements. Ce monde gris, avec quelques tâches blanches, ne dégage rien d’attrayant. Rien pour qu’on veuille s’y attacher de soi-même. Mais plus les années passent, et plus la cuve demande à être vidée régulièrement.


~~~~~~



Il y a ces nuits froides, les nuis où Nymphaea fuit tout pour mélanger sa noirceur à celle de la lune. Il y a ces moments où ses sentiments l’étouffent, où il n’en peut plus d’être un modèle de perfection apparente. Les idées ont beau se combattre, aucune d’elles ne semble vouloir l’emporter. Les obligations, la morale, les engagements, les attentes, tout, tout, tout, absolument tout participe à sa perte. Le poids est trop lourd, les eaux sombres trop profondes. Il y a les moments où Nymphaea ne peut plus tenir et disparaît pour quelques heures. Il y a des moments où le seul moyen de respirer est de se laisser submerger par ses propres ténèbres.
Même s’il se noiera un peu plus par la suite.

- Tu crois peut-être que ta famille vaut mieux que nous ?!

Ils sont huit, d’à peu près son âge. Leur cercle est presque parfait. Lui est sorti sans baguette ce soir. Au-delà d’eux, il y a la nuit qui lui appartient. Même si Nymphaea sait faire taire l’impatience qu’il éprouve de la retrouver, il sait aussi que sa maîtrise de lui-même est éphémère et qu’elle disparaîtra sans prévenir. À ce moment, il ne répondra plus de rien. Ce sont juste des adolescents d’un voisinage plus ou moins proche, pas des sorciers d’après leur attirail. Ils ne représentent pas encore un obstacle, tout juste un contre-temps.

- Il se permet ça juste parce qu’il a une jolie gueule…

- T’as vu ? T’as vu ? On dit qu’il est intelligent, mais il pige rien de tout ce qu’on peut lui dire.
- ‘Tain ! Tu nous écoutes ?!


Au-delà, il y a la Nuit qui lui tend ses multiples bras. Ses effluves glacées le frôlent, l’incitent à les suivre, à se plonger tout entier. À courir, à s’y noyer entièrement jusqu’à ce que le soleil la chasse et qu’elle lui fasse promettre de venir la rejoindre une autre fois. « Approche, approche, rejoins-moi. Oublie-toi. ».

- Ca m’énerve, les types comme toi…

Enervé ? Mais qui est énervé ? La Nuit s’est mise à l’appeler, à réclamer sa présence, à faire résonner ses cris aigus pour qu’ils parviennent à ses oreilles seules, ses cris qui se mélangent au bourdonnement qu’ils ont créé ; il y a un instant, il ne pouvait même plus respirer. Il faut juste partir pour aller la rejoindre, mais il y a ces gens entre lui et elle, qui, par tant d’aspect, ressemble tellement à Losumia…
La surface de l’eau s’est transformée en mur de verre. Il sait qu’il restera à tout jamais prisonnier sous la surface, sans jamais émerger. La seule solution pour s’en sortir, c’est de s’enfoncer, toujours plus profondément. Se laisser guider, comme un pantin désarticulé par les flots. L’eau noire de la nuit n’a qu’à se glisser dans ses poumons. Maintenant. Ils sont devenus ces obstacles, ces rebus qui l’éloignent de cet enfoncement, l’abstraction du monde qu’il voudrait opérer.

- Crétin…

L’imbécile, c’est celui qui a voulu se mettre entre lui et Elle. C’est le premier qui s’avance ; c’est sur son cou que le bras de Nymphaea s’enroule le premier, dans un geste vif et contenu, dicté par la nuit. La lune lui laisse juste le temps de voir son visage étonné que déjà il porte à bout de bras ce corps vers l’astre, que les pieds de l’obstacle quittent le sol. Déjà, il a du mal à respirer, lui aussi, se met à suffoquer. Les mouvements des autres ont tardé à arriver, peut-être en voyant l’éclat froid et sauvage qui a envahi les yeux de Nymphaea, son fin sourire de dément qui s’étale de plus en plus sur son visage. Un monstre. Il n’est plus qu’un monstre. Le monstre au fond de lui s’est éveillé. Ils ne comptaient pas se battre contre un monstre. Le monstre qui a une voix métallique, cassante, brisante, horrible, assoiffée de violence et de mort. Le monstre qui veut se prouver ses compétences à lui-même.

- J’ai pas besoin de la magie pour t’éclater !



La première chose que Nymphaea a compris, dans son enfance, c’est que l’on n’arrive jamais à rien lorsque l’on ne peut pas compter sur sa propre force. Fragile, lui ? Comment voudrait-il protéger sa sœur s’il ne peut pas se défendre lui-même ? Il est dans son élément. S’il ne savait pas jeter les déchets dans ces moments-là, il ne servirait vraiment à rien. Sous ses dehors calmes, Nymphaea a appris à se battre, comme presque tous les adolescents de son âge. Il a vite compris comment s’oublier et se faire posséder par le démon du combat.



La barre métallique, récupérée sur l’un de ses assaillants, s’est teintée de sang. Les corps gémissants se sont levés en gestes désordonnés et ont pris la fuite sans demander un éventuel rappel. Le souffle de Nymphaea est saccadé, comme s’il venait de sortir de cette eau qui l’étouffait. Mensonge. Durant un bref instant, il s’est approché du fond, là où la surface n’est plus visible, là où il n’y a même pas de sol sur lequel se poser, où il n’y a pas d’issue, pas de salut possible. Il est reparti de cette endroit délicieusement oppressant, pour contempler la surface, de l’autre coté de ce mur si solide. « Le fond » lui manque, mais il n’y a plus rien pour le retrouver. Sa respiration est haletante, il transpire, mais il est seul. Les rebus sont partis, l’empêchant de replonger. Sa main serre encore le métal, jadis froid, qui s’est réchauffé à son contact. Quelques ecchymoses, quelques coupures au couteau sur les bras et son visage, mais il se sent bien. Se sentait. Maintenant qu’il reprend corps, il se souvient que le temps est compté jusqu’à ce qu’il étouffe de nouveau. Dans la nuit redevenue calme, qui l’entoure et l’effleure, sa tête se lève vers la lune pour laisser s’échapper un rire de dément, qui monte trop dans les aigus pour paraître humain.

Le meilleur moyen de respirer, c’est encore de se noyer.
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MessageSujet: Re: Nymphaea Faithleen   Nymphaea Faithleen Icon_minitimeDim 30 Sep - 19:51

Cinquième année. Il est plus rapide de ne pas compter les « Optimal » pour rendre compte de ses résultats. Plus Nymphaea grandit et plus ce monde l’ennui. Les autres gravitent autour de lui, viennent l’importuner comme s’ils étaient égaux. Quand une fille se déclare, il faut répondre de manière sèche pour mettre les choses au clair, mais pas trop, pour ne pas faire tomber le masque. C’est lassant. Cette été, même si Losumia et lui sont presque tous seuls dans leur maison, les choses seront différentes. « Une amie de Losumia » est venue pour l’irriter un peu plus. Nymphaea voudrait lui faire comprendre que sa sœur n’est pas proche avec elle parce qu’elle l’aime bien, mais juste par compassion. Losumia est encore (et surtout en vacances) sa propriété. Mais l’afficher clairement ne fera que du tort à sa sœur ; Nymphaea se tait donc et passe cet été plus qu’un autre dans la solitude, à travailler pour le principe de travailler.



Jusqu’au jour où cette amie est venue, s’est arrêtée à l’autre bout du couloir, bien avant qu’ils se croisent. Nymphaea n’aime pas ça : maintenant, c’est comme s’il allait dans sa direction. Mais elle ne lui en a pas laissé le temps ; situation incongrue, elle a lâché les mots qui lui donneraient presque l’impression d’être revenu à Poudlard à une quinzaine de mètre de lui.
Le Serdaigle n’aime pas ces trois syllabes. Elle se ressemblent presque toutes ; il y a juste une différence d’intonation pour la fin, ce « me » qui est la plupart du temps éludé. Ces trois syllabes rituelles sont parfois suivies d’autres ; d’autres fois, la personne qui les a prononcées croit qu’elles se suffisent à elles-même. Comme si c’était à lui de rebondir dessus, de tirer les conclusions…
Ce cas-là est un deuxième exemple. Elle n’a pas l’air de vouloir à tout pris ce qu’elle sous-entend vouloir. Un mot et tout sera terminé, elle passera à autre chose – à quelqu’un d’autre, sans doute. Comment Losumia pouvait-elle apprécier ce type de personne ?

Nymphaea avait fermé les yeux, comme pour faire abstraction d’un petit contre-temps qui ne lui apporterait jamais quelque chose de « bien » ou d’utile. Sans paraître un tant soit peu compréhensif ou gêné, il s’était remis à marcher dans la direction de l’amie de Losumia (elle avait un nom de divinité grec, mais il était incapable de s’en souvenir) qui attendait, presque tremblante, sans oser le regarder de nouveau. Un pas en arrière lorsqu’il ne fut plus qu’à un mètre d’elle – aucune inquiétude à avoir, il passa seulement à côté d’elle pour lâcher un mot au passage.

- Désolé.

Son ton n’avait rien de « désolé » ; il n’avait pas à l’être, elle avait choisi de ressentir ce qu’elle voulait, elle était la seule responsable de ses sentiments. La page était maintenant tournée, scellée, les choses étaient devenues clairs et n’aspiraient plus qu’à être enterrées. Sans être dédaigneux, il était facile d’y entendre l’ennui dont il était gorgé. Du moins, n’importe quelle personne censée aurait dû…
Des bruits de pas, à la course.

- S’il te plaît… aime-moi !

Elle l’avait suivi, elle s’était arrêtée, elle l’avait crié en baissant légèrement la tête et en fermant les yeux, comme pour illustrer un effort. Nymphaea avait rouvert les siens violemment, relevé la tête d’un coup sec et s’était stoppé dans son chemin tout tracé pour se retourner avec ce qui aurait pu passer pour des yeux écarquillés venant de lui.
« Reste dro… » commençait une petite voix dans sa tête – bien vite balayée, bien vite éclipsée. Là, tout maître de lui qu’il était, c’était trop.

« Aime-moi ».
Ca… c’était tellement… tellement… bête… tellement crétin, tellement irrationnel, tellement improbable, tellement ridicule dans sa formulation même… que ça en devenait presque drôle. Nymphaea ne pouvait pas cesser de regarder la gamine à mesure que ses paroles continuaient de résonner en écho dans sa tête.
C’était bien une poufsouffle, ça…

Et d’un coup, elle se redressait, ses mots se précipitaient de façon désordonnée pour sortir de sa bouche les premiers. Toujours tremblante, les poings serrés.

- … j’ai assez d’amour pour deux ! En attendant un peu, tu finiras peut-être par bien m’aimer, et… et…

Nymphaea n’avait pas raté une miette de ses paroles. Il lui semblait qu’elle sortait des énormités plus grandes à chaque fois qu’elle ouvrait la bouche. Non, non, ça n’était pas possible : rien ne pourrait dépasser ce « Aime-moi ». Il méritait qu’il s’en souvienne jusqu’à la fin de ses jours.

Le silence s’installa, plus pesant que celui auquel il était accoutumé. Elle respirait fort. Trop fort. Elle avait les attitudes d’une gamine ; elle avait sorti des paroles qui étaient certainement le reflet d’une stupidité interne qui lui était propre – pas comme sa « très chère sœur » – , elle n’était pas particulièrement belle – beaucoup moins que Losumia –, elle manquait apparemment de grâce – qui était un don inné chez sa sœur –, avait l’air de n’avoir aucune classe – contrairement à son univers –, ne semblait pas provenir d’une famille de grands sorciers.
La conclusion vint rapidement : elle n’avait rien pour elle. Cas désespéré.
Et pourtant… alors pourquoi… ? Quelque chose le poussait en avant. « Aime-moi ». Il ne faisait pas ça « sur un coup de tête ». Il ne réagissait pas en tant qu’agent impulsif.

- C’est d’accord.

En lâchant ça, il avait parfaitement su qu’il aurait des ennuis pendant très longtemps.




Malgré sa volonté de vouloir mettre les choses au clair, Nymphaea a eu l’impression de s’être fait particulièrement avoir. La petite Hestia (il finit par apprendre son prénom) ne parut pas comprendre grand chose. Le couple commença officiellement sa relation quasi-platonique (Hestia n’avait pas l’air d’avoir le physique apte à supporter Nymphaea dans ses débordements) vers la fin des vacances. Losumia avait l’air heureuse de la situation. Raté…
Si avant, l’entourage de Nymphaea se moquait gentiment de lui de ne jamais le voir en compagnie d’une fille (d’où toutes sortes de spéculations sur ses soit-disant mœurs, totalement infondée ; sans réels sentiments, il avait toujours su être d’une discrétion quasi-parfaite sur les affaires de ce domaine), cette fois, les choses furent pires : pourquoi Hestia… ? Il avait donc ce genre de goûts… ? Hestia fut bien accueillie, source de moqueries gentilles mais encore moins supportables pour Nymphaea. Les commentaires allaient bon train, certains partagés entre la jalousie et l’espoir. Il ne pouvait pas sortir avec elle par intérêt (si on appelait encore ça « sortir avec quelqu’un ») ; c’était donc par amour.
Ce à quoi Nymphaea aurait presque eu envie de répondre : « Pourquoi pas… ».





Anecdotes Importantes : Nada, il n’a pas d’élément qui ressurgisse plus qu’un autre. Pour lui, le passé est une masse grouillante d’informations maintenues sans aucune cohésion.




Epilogue

Comment trouvez-vous le forum ? … je préférais le design avec du VERT :mrgreen: * se répète *
Comment l'avez-vous découvert ? J’étais la joueuse d’Alice Oldfield sur HT.
Prévoyez-vous créer d'autres personnages ? Nop ^^, Hypokhâgne oblige, le temps devrait m’être compté…
Question Réglementaire : « Hogwarts will always be there for those who needs help » (Enfin… elle va essayer :mrgreen:)

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MessageSujet: Re: Nymphaea Faithleen   Nymphaea Faithleen Icon_minitimeDim 30 Sep - 19:55

Wouhouuu, bienvenue ! Love
Excellente fiche, trop hyper longue. *__* XD C'est super... Même si euh, j'avoue que je n'ai pas tout lu, tu m'excuses ? \o/

Ailes SERDAIGLE, 6EME ANNEE.

Excellent jeu sur FP !
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MessageSujet: Re: Nymphaea Faithleen   Nymphaea Faithleen Icon_minitimeDim 30 Sep - 19:59

Excuses refu acceptées ^^. Quatre ("Un bon chiffre") minutes après avoir posté mon dernier message, j'pouvais m'attendre à ce que quelqu'un ait tout lu (Mais je préfère ça et voir Nymph être réparti aussitôt EXPLDR).

Merci beaucoup ^^
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MessageSujet: Re: Nymphaea Faithleen   Nymphaea Faithleen Icon_minitime

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